Utopia, la Belle La cité de la Meute |
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| Romans et nouvelles du conteur Damien | |
| | Auteur | Message |
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Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Romans et nouvelles du conteur Damien Dim 25 Nov - 2:33 | |
| " Ceci est une nouvelle qu'un jeune homme éseille de terminer " " Cette nouvelle n'est donc point terminer mais il veux néamoins connaitre votre ressentis sur ce qu'il à écrit "
Au sein d'une nuit particulièrement limpide, dans les hauteurs insondables du ciel se pavanaient les âstres resplandissant ornés de leur plus beaux éclats. Qui allongeant les ombres noturnes, m'écrasant en accentuant ma petitesse humaine. L'air stagnant comme trop lourd pour ce vent chétif, était glacial, mordant... L'herbe pâle recouvère d'une croute blanche croustillante sous mes pas. La terre gorgée d'eau semblée se muer en pierre cassante. Une belle nuit d'hiver comme je les aimes, qui promettais de cette belle Lune grande et ouverte sur le ciel, une journée resplandissante et séche. Déambulant sur la chaussé de la route, calme insomniaque, qui énivré par une infame énergie m'empéchant m'endormir. Eveiller comme d'un rêve êtrange, ou frissonnant et grelotant de froid malgré une stupéfiante insensibilité. Je marchais ivre d'un instinct insondable, me poussant instinctivement Dieu seul c'est où, de cette allure mécanique et hypnotique. Empruntant le chemin de gravier inégal et bossu, longeant les eaux boueuses de ces deux marres grotesque fesant face à l'orgeuilleuse batisse de brique servant de Mairie. Etant l'esclave d'ordre implacable je dépassa bientôt notre terrein de jeu, aménager pour notre folle jeunesse, pour déboucher enfin à coter de la salle des fêtes aveugle et muette. | |
| | | Hopewings Utopiste
Messages : 572 Date d'inscription : 15/09/2007 Age : 36
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Dim 25 Nov - 21:44 | |
| Je trouve cela bien écrit. Il m'a cependant fallut effectuer une relecture pour comprendre, ou plutôt entrevoir une froide nuit d'hiver drappée d'un manteau blanc où un :druken: erre jusqu'à une salle des fêtes en passant devant la mairie.
Mais c'est clair comme écriture (de par le choix des mots). Et les thèmes je les aime bien (la nuit et l'hiver) Bien que la remarque ne peux être faite pour ton cas, il y a des fautes d'orthographe embettantes:
Qui allongeant les ombres noturnes, m'écrasant en accentuant ma petitesse humaine. (je pense qu'ici c'est m'écrasait parce que sinon je ne comprends pas le sens de ta phrase sans verbe)
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| | | lloiss Coursier
Messages : 194 Date d'inscription : 06/11/2007
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Dim 25 Nov - 23:17 | |
| pas grand chose a dire de plus que hopewings^^ A part: Continue!^^ | |
| | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 30 Nov - 21:42 | |
| " Voici enfin venu la version compléte est améliorer " " Je pense pas qu'elle soit tout à fait terminer car je pense qu'un jour il en adoucira encore les contours de plus le texte devra être corriger " " Bonne lecture " - Au sein d'une nuit particulièrement limpide, dans les hauteurs insondables du ciel, se pavanaient les âtres resplandissant, orner de leurs plus beaux éclats. Qui allongeant les ombres, dans un gigantisme iréel, m'écrasais de ma ridicule condition humaine. L'air stagnant, comme trop lourd pour ce vent chétif, était glacial, mordant. L'herbe pâle, recouverte d'une croute blanche, croustillante sous mes pas. La terre gorgé d'eau semblée se muer en une pierre cassante. Une belle nuit d'hivers, comme je les aimais, qui promettait de cette belle Lune, grande et ouverte sur le ciel, une journée agréable et ensoleillé. Déambulant sur la chaussé de la route reluisante de givre, calme insomniaque qui énivrait pas une énergie infame, m'empéchant de m'endormir. Eveillais comme dans un rêve êtrange, ou frissonnant et grelotant de froid, malgré une stupéfiente insensibilité. Je marchais ivre d'un instinct insondable, qui me poussait instinctivement Dieu seul c'est où, de cette allure mécanique et hypnotisante. Empruntant le chemin inégale et bossu, longeant les eaux sales de ces grotesques mares d'ont l'une fesant face à l'orgeullieuse Mairie de brique rouge. Etant l'esclave d'ordre implaccable, je dépassais bientôt notre terrein de jeu ameger pour notre folle jeunesse, pour déboucher aux allentoures de la salles des fêtes aveugle et muette baignante dans une lumière fluorescente. Eclosion soudaine de mon esprit, hélas cette impérative force me mener vers la forêt, et je regardais mis afoller mis envouter l'étendue d'arbres qui ne finissait de se raprocher. Malgré la transparance de cette nuit, cette pitoyable forêt rendu à l'état de bosquetétait plonger dans une obscurité malseine. Un frisson coula le long de ma colonne pour s'échouer en un spasme au niveau de mes cervicales. Celui si n'était du au froid, mais de ma prise de conscience, face à l'impuissance de mon esprit sur mon corps endiablé. J'était comme pocédais par une entité tenant entre ces griffes imondes les reinnes nerveuses de mon organisme. Coduit tel l'ivrogne que l'on aide, conscient de son mal mais incapable d'y remédier. Ici le chemin retrouva la route pour descendre rapidement vers la foret. Magré cette folie sans nom qui cachait dans mes entrailles fièvreuses, je n'étais pas paniqué, mon coeur calme au rythme lent et profond traduisaient mon sentiment de détachement. Il battait ainsi, comme si le sommeil m'avait gagner. Cette sensation était proche de ces rêves que l'on vit parfois, nous semblant si réel, si palpable. Mais la multitude des détails, ces paysages tant connu, la vraisemblance de mes sensations, cette lucidité de l'esprit. Non ! ceci ne pouvait être le fruit de mon imagination dormante. Cette marche terrible était que trop réel..." Je suis cruel et vous laisses dans votre jus car ceci n'était que la première partis " " Il y a en tout cinq partis plus au moins similaire en taille quoi que déclinante néamoins " " Je laisse libre vos comentaires qui me permetrons d'améloiré ce texte " " Je vous infome également qu'une autre nouvelle est en cour de réalisation j'en ai définis les grandes lignes il me reste plus qu'a broder autour en bref il me reste le plus gros du boulot... "
Dernière édition par le Sam 1 Déc - 1:14, édité 1 fois | |
| | | lloiss Coursier
Messages : 194 Date d'inscription : 06/11/2007
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 30 Nov - 23:50 | |
| le texte est bien Il y a des fautes de frappes parcontre. Mais bon c'est trop grave. Ah et il y a aussi: Ici le chemin retrouva la route pour descendre rapidement vers la foret, magré cette folie sans nom qui cachait dans mes entrailles fièvreuses, je n'étais pas paniqué, mon coeur calme au rythme lent et profond C'est deux phrase differente non? Donc c'est plutot un point? | |
| | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Dim 16 Déc - 21:06 | |
| La seconde parties de ma nouvelle...
- L'émanation d'humus melée à la décomposition, m'inondait avec afflux, saturant mes narines de cette effluve flétrie. L'odeur, la vue fantasmagorique, les bruits inextricables, s'imposaient à mes sens attentifs. Je n'était plus qu'à quelques mètre de l'antre de la forêt et déjà l'ombrage dansante, machiavélique, baloté par un vent invisible, m'acceuillait de cette sinistre manière. Les ombres engeandrées par la lumière blafarde, des spectres célestes, qui donnant aux hètres, chênes et bouleaux une teinture macabre comme si le bois était d'os. La forêt squellettique, grisonnante et tramblente m'était inconnue et je sentais naître un nouveau frisson à la vue de cette diabolique flore de cauchemard. Forêt maudite ! Qu'a tu fait de celle qui boisait notre bois ? Celle qui deux décinies durant m'avait vue gravir ses pentes abrutes. Si jalonait d'obstacles et jouant de grand rôles pour nos aventures rocambulesque. Cette marche continuant son office sacrilège, sourde à ma détresse naissante. Je quittais la route pour le chemin chaotique plongeant dans l'énivitable forêt. L'univer cloisonné de ce damné bosquet m'étoufait, à en perdre haleine. La forêt me toisée de sa hauteur haineuse, avec répugnance et dédain. Ils étaient nues et à leurs racines membraneuses, un profond tapis de feuille et de branche, ou elles s'engluaient avec la terre et la boue pour former une phange colante et visqueuse. Leurs corps étaient cruelles, maigres, remplit de noeuds informe et tortueux. Ces visages étaient hostiles, emplit d'une haine sauvage. M'enfonssant dans les méambres de ce bois rétissant, mon coeur bondissait craintivement malgré l'implaccable assurance qui animé mes jambes. | |
| | | lloiss Coursier
Messages : 194 Date d'inscription : 06/11/2007
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Dim 16 Déc - 23:09 | |
| a quand la suite | |
| | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| | | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 25 Jan - 15:35 | |
| " Je suis désoler pour mes nouvelles mais les recopier me prendrais beaucoup de temps " " Je puis vous dire que j'ai pas mal avençer " " J'en est écrit en tout 5 et je pense en écrire encore deux troix ou peut être plus avant de les regrouper pour en faire un receuil " " Ces nouvelles gravitent autour de mon village " " Elles sont pour la plus par ' rationelle ' enfin pour des nouvelles fantastiques quoi, et deux trois tordu sans aucune réponse rationelle " " Voila voila c'était juste pour vous dire ou j'en était " | |
| | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 7 Mar - 17:09 | |
| " Bon les loups voici un peu de lecture j'ai enfin trouver un moyen de coller mes nouvelles ici donc vous allez avoir du boulot "
Au sein d’une nuit singulièrement limpide, dans les hauteurs incommensurable du ciel, se pavanaient les astres resplendissant, orné de leurs plus beaux éclats. Qui prolongeant les ombres, dans un gigantisme irréel, m’écrasait de ma risible condition humaine. L’air stagnant, comme trop lourd pour ce vent malingre, était glacial, mordant. L’herbe livide, recouverte d’une croûte blanche, croustillante sous mes pas. La terre gorgée d’eau semblait se muer en une pierre cassante. Une belle nuit d’hivers, comme je les aimais, qui promettait de cette belle Lune, grande et franche sur le ciel, une journée agréable et ensoleillée.
Déambulant sur la chaussée de la route, reluisante de givre, calme insomniaque qui enivré par une énergie infâme, m’empêchant de m’endormir. Eveillé comme dans un rêve baroque, ou frémissant et transi de froid, malgré une stupéfiante indolence. Je cheminais ivre d’un instinct insondable, qui me poussait spontanément Dieu seul c’est où, de cette allure mécanique et obnubilant. Empruntant le chemin inégal et disparate longeant les eaux maculées de ces grotesques mares dont l’une faisant face à l’orgueilleuse Mairie de brique cramoisi. Etant l’esclave d’ordre implacable, je dépassais bientôt notre terrain de jeu aménager pour notre folle vigueurs, pour aboucher au alentour de la salle des fêtes amblyope et taciturne baignant dans une lumière fluorescente. Eclosion soudaine de mon esprit, hélas cette magistrale force me mener vers la sylve, et je regardais mis affolé mis envoûté l’étendue d’arbres qui ne finissaient de se rapprocher. Malgré la nitescence de cette nuit, cette pitoyable forêt rendue à l’état de bosquet était plongée dans une obscurité malsaine. Un frisson coulait le long de ma colonne pour s’échouer en un spasme au niveau de mes cervicales. Celui si n’était due au froid, mais de ma prise de conscience, face à l’impuissance de mon esprit sur mon corps endiablé. J’étais comme possédais par une entité tenant de ses griffes immondes les rênes nerveuse de mon organisme. Conduis t’elle un ivrogne que l’on appui, éveillé de son mal mais incapables d’y remédier. Ici le chemin récupérait la route pour descendre rapidement vers la forêt, malgré cette folie sans nom qui cachée dans mes entrailles fiévreuse, je n’étais pas paniquais, mon cœur placide au rythme lent et profond traduisait mon sentiment de détachement. Il régissait ainsi, comme si le sommeil m’avait acquis. Cette perception était proche de ces songes que l’on vie parfois, qui nous semblent si tangible, palpable. Non ceci ne pouvait être le fruit de mon imagination dormante. Cette marche terrible était que trop réelle.
L’émanation d’humus mêlée à la décomposition, m’inondait avec afflux, saturant mes narines de cet effluve flétri. L’odeur, la vue fantasmagorique, les bruits inextricables, s’imposaient à mes sens attentif. Je n’étais plus qu’à quelques mètres de l’antre de la forêt et déjà l’ombrage dansant machiavélique ballotté par un vent invisible m’accueillait de cette sinistre manière. Les ombres engendraient par la lumière blafarde des spectres célestes, qui donnant aux hêtres, chênes et bouleaux une teinture macabre comme si le bois était d’os. La forêt squelettique, grisonnante et tremblante m’était inconnue et je sentais naître un nouveau frisson à la vue de cette diabolique flore de cauchemar. Forêt maudite ! Qu’a tu fais de c’elle qui boisée notre fourré ? Celle qui deux décennies durant m’avait vue gravir ses pentes abrupts et jalonnais ses obstacles jouant de grand rôles pour nos aventures rocambolesques.
Cette marche perpétuant son office sacrilège, sourde à ma détresse immergent. Je quittais la voie macadamisée pour le chemin chaotique plongeant dans l’inévitable forêt. L’univers cloisonnait de ce damne bosquet m’étouffait à en perdre haleine. Elle me toiser de sa hauteur, haineuse, avec répugnance et dédain. Les arbres étaient dépouiller et leurs racines membraneuses baigner fermement dans un tapis de feuilles et de ramures, s’engluant avec la terre et la bourbe pour former une fange collante et visqueuse. Leurs corps étaient cruelles, maigres, remplit de nœuds informe et tortueux. Ces faciès étaient hostiles encombrés d’une animosité sauvage.
M’enfonçant dans les méandres de ce bois réticent, mon cœur bondissait craintivement malgré l’implacable assurance qui animé mes jambes.
L’ordre du temps lui-même s’écoulait d’une étrange manière comme si il eut était atteint d’une pathologie rare et virulente. Ce fardeau hideux pesait lourdement à ses ailes fines. Les heures étaient infinis tournant sur elle-même, les minutes vieillardes traînant le pas et les secondes nageant à contre courent. Voilà ce qui me semblait être une éternité que je circulais hagard, marchant d’un pas égal d’une extrême mesure, dans cette végétation aigris. Les ronces agressives ainsi que d’autres végétaux sanguinaires me lacéré, me sanglé, me cinglèrent. Cette boue, concentré d’un suc épais ressemblait à une vase malodorante, comme celle que l’on trouve au bord de la Seine. L’harassement se faisait ressentir rongeant mes dernières forces et mon moral sombrait à la bordure d’une folie sans nom. Mon esprit se confondait car mon avancée était incompréhensible, malgré mes effort pour me repérait dans cette jungle indocile. Mes jambes ensorcelaient me menée à ce qui semblé être un parcours sans terme autre que celui de me faire le plus de mal. La forêt paraissait mouvante si bien que me retournant un instant afin d’évalué ma course effrénée, je ne reconnaissais pas même être passé par là. La fièvre de la déraison me raflé, mon esprit tangué dangereusement vers des idées effroyables. Je scrutais plein d’angoisse dans les pénombres tentant d’apercevoir de monstrueuses formes tapis sournoisement pour m’occire au pire encore.
Interminable marche amorphe, dans le crépuscule inné du ciel. Incontrôlable et indigeste ma terreur devint insupportable. La peur débordante et la rage pour ces jambes félonnes, gloire d’antan, me laissaient échapper un souffle d’impuissance me laissant sans plus de volonté et de force pour lutter. Et s’était avec abondons, que marchant ma terreur s’amplifié avec force d’amplitude. Un long murmure grincent s’élevait des arbres féroces ; comme si le vent s’était réveillait avec mauvaise humeur et disgrâce. Pendant une seconde un craquement épouvantable, les arbres du bosquet maudit se torsadaient, se plaquaient, parfois basculaient en poussant des hurlements et des rires fatales. Au comble de l’horreur, la frayeur et l’hystérie gagnaient ces forces sur moi. De là tout devenait illusion invivable et je perdais conscience.
Mes sens désemparaient, inhiber, batifoler éperdument pour un semblant même du moindre contrôle possible sur la vague déferlante du flot indomptable des données cauchemardesques. Mais hélas ayant distillait dans la démence, me noyant dans les ondes de l’oubli.
Des anamorphoses indistinguaient, suivis d’éclatement saumâtre de forme géométrique, virevoltant d’une détestable manière avant l’issu finale. Vertiges roulant, montant, descendant, tournant de tout sens et arythmiquement qui bouleversait mon équilibre dans une nausée effilé. Des relents de chaleurs flamboyantes, contrasté de blizzard s’entrechoquant. Convulsion et tremblement épileptique agitaient mon corps dans un séisme déchaîné. Des lumières évanescentes, éventail agressif ou dépressif de couleurs sordides. Une impression de nudité honteuse m’empochait, comme si l’environnement abyssal où je me trouvais me faisait les plus acerbes reproches. Un maelström de choses fluctuantes à mes yeux, quand soudain avec brusquerie mon corps subitement se rétablissait, mes yeux s’ouvrèrent béatement. Immédiatement stupéfait par l’atmosphère clémente, un calme feutré, une tiédeur douçâtre, le touché soyeux de mes draps. Sans comprendre la situation où je me trouvais surpris d’être dans mon lit, en nage et fébrile je me redressais allumant mon globe terrestre. Une grimace me fut tirée à la vue de mes frusques éparpillés… et souillaient d’une boue reconnaissable.
Dernière édition par Sobek le Ven 7 Mar - 17:25, édité 2 fois | |
| | | Hopewings Utopiste
Messages : 572 Date d'inscription : 15/09/2007 Age : 36
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 7 Mar - 17:21 | |
| t'aurai pas plus mettre encore plus petit ?! :p | |
| | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 7 Mar - 17:26 | |
| Oupsss c'est arriver comme sa... La sa doit être mieux ^^ | |
| | | Hopewings Utopiste
Messages : 572 Date d'inscription : 15/09/2007 Age : 36
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Ven 7 Mar - 17:34 | |
| magnifico , je n'aurai pas demander mieux | |
| | | Sobek Utopiste
Messages : 626 Date d'inscription : 29/09/2007 Localisation : Dans la fange universelle
| Sujet: Re: Romans et nouvelles du conteur Damien Jeu 20 Mar - 14:55 | |
| Un peu de lecture
La nuit était d’étoiles et d’une Lune en croissant, un spectacle toujours aussi grandiose ou on y contemple l’infinie abîme stellaire. Où l’on se perd aisément parmi les constellations, à y voir formes chimériques et autres apparitions cosmiques. J’y était moi, épiant et absorber par la Lune et les étoiles, elles beaucoup plus reculées, mystérieuses et impénétrables. Dans cette nuit en plein hiver, ou le froid impassible stigmatiser les eaux en des miroirs éphémères, nous autres amis, en profitions pour reproduire le miracle de Jésus ; marcher sur l’eau ! Au devant de la mare près de notre Mairie, dans cette enclos protecteur, empêchant toutes personnes raisonnables de s’approcher trop près de cette mare boueuse. Donc bien entendus, étant plus que circonspect, nous autres avions déjà supplanté cette règle famélique, afin de nous dépouiller de cette dernière. Nos joies ne battaient pas demi-mesure, comme des aliénés aux qu’elles on présentaient pour la première fois, une piscine emplit de grosses boules en plastics. Sur une épaisseur de cinq bon centimètres, cinq compères plus que jamais à leurs enfances glissant et sautant, ivres de bonnes humeurs et d’une joyeuse fantaisie commune. La glace joyau diaphane et opalin, qui comme l’ambre emprisonne dans son sein quelques merveilleuses bulles ou des petites brindilles, mis au spectacle à la vue de tous, sous verre et sous lumière pâle rendant la chose plus belle qu’une gemme ou qu’un diamant. Après un carnaval de glissades, nous nous mîmes à observer la transparence de la glace espérant voir les eaux, et peut être quelques pauvres âmes piégées dans cette redoutable geôle. Au-delà de la croûte glissante, l’eau croupissante, masse sombre et bourbeuse barbouillait la glace comme souillure faite à la neige, par la glaise tachant l’immaculé blanchâtre. De nos cabrioles frivoles, la glace par endroit fendu laissant traces saillantes, telle une vitre ébréchée par des cailloux. Ces fentes merveilleuses, composées une mosaïque surprenante enraciner dans la pulpe gelée. Poète que je suis, j’admirais les cassures d’un œil aguerri, comme aurait pus le faire une infirmière sur une artère singulièrement bien dessiner. Pris de l’enclume lourde de l’inspiration, emmuré dans la contemplation, je ne vis mes amis quitter la glace pour retourner à leur occupation virulente sous l’arrêt de car. Seul au beau milieu de cette étendue givré, inspecteur de beauté, enflammé par une sensibilité accrue par un venin délicieux. Dans mon mutisme extravagant, je gagnais le centre de la mare, regardant ainsi la surface de cette œuvre contingent, minutieux du moindre détaille. Parfois une nappe d’oxygène venait enchevêtrée de son écume la glace, laissant la glace lactescente ou incolore. A mon arrivé au milieu de la mare, une déroutante ombre assombrissait la glace. Imperceptible au premier regard, mais considérant depuis un bon moment la glace, à dévisageais cette dernière, la différence me sautait aux yeux. Une impression insolite émanée de cette ombre, pourtant la glace semblée être similaire, la même consistance que sa voisine. En voulant me penchait à ce problème, une furtive apparition fantomatique se glissait entre la glace et l’eau. Funestement, l’image d’un corps, *** et décomposé avait surgit, me faisant bondir d’effroi. Dans le cycle de terreur qui m’éprit, d’un tourbillon de pulsion primitive désordonnées, je glissais maladroitement de l’horreur qui avait surgie. Tombant lourdement contre la cloison glacée, qui sous la force de l’impact se fendit de plus belle, balafrant la mare d’une horrible cicatrice. Un peu étourdit par les chocs, je me relevais escorté de bruits sinistres, entendant la glace se cliver je me figeais, immobile ne voulant l’affaiblir plus. Mais le craquement fatal surgissait, et d’un bond désespéré, je sautais voulant fuir à tout pris le bain glaciale. Hélas la glace se brisait et le fluide m’aspirait dans un glougloutement friand. La morsure du froid fut terrible, tout mon corps fut pris dans sa gueule cruelle, m’arrachant une douleur intense. Engouffrais dans l’eau boueuse mon corps trépidait de dégoût et de froid. Sous l’impulsion de la survie, je battais des membres désespérément pour y retrouver la surface. Mais ne sachant dans qu’elle sens nageais, j’ouvris les yeux pour découvrir une vue absolument sombre sans aucune filtration de lumière. Abandonnant tout espoir de voir la surface, je fermais les yeux, mais avant même de faire cela, une lumière me fut perceptible déchirant obscurité. L’espoir surgit dans un élan plein d’ardeur, sauf que ma main entrait dans un contact repoussant. La vase, limon ignominieux m’aspirais avec force, comme si une poigne de boue m’avait saisie fermement. Paniquant en folie, de toutes mes forces, j’essayais de m’arrachait de l’étreinte insupportable. La lumière n’avais pas disparu, auréole félonne, tremblotante dans les remous, me narguant avec plaisir. Dans ma tête très vite, la vie en image s’écoulait, des pensées fortes, des visages aimaient souriant puis pleurant misérablement. C’est alors que la lumière se muait, tout en se propageant, elle perdait en intensité, allant de ce jaune persistant, en une lumière légèrement jauni. De cette transmutation, un corps se dessinait flottant légèrement, fantasme du à la mort proche sûrement. La fange ne m’attirait plus à elle, et finalement le croquis luminescent pris figure stable sous l’apparence indistingue d’un enfant. Oubliant le froid, l’oxygène qui me manqué, je restais ébahie devant l’apparition. L’enfant aux traits polis presque amorphe me regardais tristement. Lentement il déployait, d’un geste sa main en direction de la vase, de la lumière qu’il diffusait, un squelette miteux baignant à mi fémur dans la tourbe apparu. Ma surprise n’en fut plus grande, imaginer je mourrais de toute façon. Le spectre affable une fois sa dépouille montrer, commençait à se disloquer en particule lumineuse, et moi un brouillard intenable se former en mon sein. Mes poumons étaient douloureux, ma tête déjà tourner et des formes ahurissantes volées dans le liquide brunâtre. La mare était devenue vaste champ paradisiaque, ou anges multicolores et oiseaux éthérés tourbillonné en une danse angélique. Mais le spectacle se gâtait, anges et oiseaux explosés en un ruissellement d’organes, l’eau rougit autour de moi et commençait à bouillonner des flammes infernales qui montaient de la fange. Diables et chérubins de magma se prenaient en une orgie horrible, et un chant funeste claironner de la charpente gadoueuse. De la boue ***, des bulles montèrent, et la poigne immonde se révulsait lâchant mon bras prisonnier. Plus rapide que la mort, je m’élançais vers la surface. Mais l’eau devint de plus en plus froide, la rougeur diminuait vacillant vers un bleu clair, et d’un coup je m’écrasais contre une paroi de glace. A bout de souffle, je tâtonnais éperdument pris d’un vertige, mais cette foutu glace trop épaisse pour mes coups de poins c’était renfermer sur moi, comme terre sur un cercueil. La mort sur moi pris ampleur, m’attrapant gentiment par la main comme mère pour son enfant. Elle me caressait amoureuse d’un corps qui bientôt serait sienne. Le froid continuait son ouvrage, devenant pire en pire, se transmuant en glace comme si dans la mare le Cocyte se déversait. Lentement ma vision se brouillait, l’air manquant, ma bouche s’ouvrait instinctivement pour avaler l’eau glacée de la mare, puis sombrant atrocement dans une léthargie abominable, tout devint sombre comme le vide. Une douleur, quand subitement je revins à moi, allongeait que j’étais sur la glace, étendus face contre le ciel étoilé. Autour de moi, étaient serrer mon frère et mes amis dont les visages pris d’inquiétudes devant mon mal, éclatèrent de rires voyant que je revenais à moi. Je ne puis rire également car ma tête me faisait trop souffrir, et mon esprit encore bouleverser divagué un peu dans une mélasse rêveuse. Quand on me releva non sans peine, emplis de tournis nauséeux dans la tête, je vis que la tache sombre avait disparu… | |
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