Poêmes

Cette rubrique m' a été demandé par Sobek alors voilà ^^ Tiens, on devais trouver une autre occasion à fêter bah volà ^^
Va chercher l' Absynte Sobek !!

Enfin bref voilà une rubrique pour les poêmes

( sic ) Absynte...

Ô toi reine des liqueurs
Enivre nos deux coeurs
Car nous voici poète
Et de nos belles fêtes
Ecrites nous voulons
Trouver l'imagination
Par ton doigté anisé
Nous faire tremblé
Voici le vertige verdatre
Nous servant de ciment ou de plâtre
Pour constituer nos vers
Alors levons nos verres

A la tienne... alien

A la tienne mon cher !

Baiser

Nos chemins se sont croisés
Nos yeux se sont accrochés
Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre de mes mains mille baisers
Pour que jamais tu n'en sois privé.

Ma plus grande envie

Alors que le soleil se lève à l'est,
L'aurore de mon amour commence à poindre
Alors que le soleil se couche à l'ouest,
Je suis envahi d'un désir brûlant
Un désir enfermé au fond de moi
L'un de ceux qu'on ne cacher plus longtemps

J'attends impatiemment un doux baiser pour apaiser ma soif
J'attends impatiemment un geste tendre qui durera toute une vie

Enfin, tu es ma plus grande envie

Je ne t'aime pas pour aujourd'hui ni demain mais pour toujours

Derniers instants

Si je devais mourir ce soir
J'aimerais que ce soit dans tes bras
Avec pour dernière musique
Le son de ta voix
Et pour dernier paysage
La couleur de tes yeux...

Deux monde qui sont miens

Je vis dans deux mondes,
Un fait de souvenirs, l'autre de réalités.

Mes yeux sont fermés,
C'est le monde que je préfère,
Car tu es à mes côtés
Et j'y ai tous mes repères.

Mes yeux sont ouverts,
C'est un monde imposé,
Où je n'ai plus d'air
Et rempli de peine.

Le premier est joli, coloré,
Envahi de souvenirs,
De tout cet amour partagé,
Et de nos éclats de rire.

Ici, sans cesse règne la douceur,
Je revoie tes yeux pétillants.
Tout n'y est que bonheur...
Que je suis bien dans tes bras !

Le second m'étouffe doucement,
Et même si j'y construis ma vie,
Je n'y évolue que lentement,
Puisque je suis privé de toi.

Là, tout est sans importance,
Et je m'y sens très seul.
J'y apprends la patience
Et j'attends ton retour.

Mais qu'ils soient ouverts ou fermés,
Mes yeux te regardent tendrement.
Rien ni personne, jamais,
N'étouffera mes sentiments.

De t'écrire tous les jours je me retiens,
Pour respecter ton besoin
De recul, de silence, d'être loin
De ces causes de chagrin.

Je n'ai plus de nouvelles de toi,
Tout est devenu noir autour de moi.
Mais je crois encore en cette étincelle,
Je ne perds pas espoir.

Et même si mon attente est vaine,
Je t'aimerai toujours, intensément.
Cet amour coule dans mes veines
Et y coulera jusqu'a mon dernier jour...

Je ne veux plus...

Je ne veux plus écrire
Car je raconte le bonheur
Que je voudrais
Celui que je désire
Et qui m'échappe
Qui me brûle les doigts
Et s'envole loin de moi....

Je ne veux plus écrire
De la poésie, des histoires
Celles que l'on lit le soir
Pour faire de beaux rêves
Et régner sur son esprit
Moi je ne connais que l'enfer...

Je ne veux plus écrire
Des mots d'amour qui chantent
Qui déclament leur flamme
Passionnément et sans entrave
Moi je meurs d'amour
Et n'arrive jamais à le dire
Moi je meurs tout court
Et n'arrive jamais à survivre...

" Je me permet un peu de critique "
" Les deux derniers ont retenu mon intention "
" Le premier des deux : ce poème je trouve est bien construit et on retrouve bien le fruit de ton mal être ( si j'ose dire ) "
" Le second est très intéressent au niveau de la réflexion et de la
formulation la structure est libre mais il chante bien au oreille (
petite métaphore hihi ) "
" Je vais te dir pourquoi je tes demandais de les mettres car en fait
ton style me rappel cette noirceur épuré de mes premières années
d'écriture "

" Arf j'ai oubliait comment on fesait les liens car j'avais en Amneroth
dédier une rubrique à la poèsie c'était dans les discussions entre
Seigneur elle est à la deuxième page entre un de prendre poussière... "

Je te remercie pour ces critiques Sobek.

Elle me vont droit au coeur et en ce qui concerne mon " mal-être ", il n' est pas entièrement résumer dans ces deux derniers poêmes, il me semble même en avoir parler dans la rubrique : " Halloween " si ma mémoire est bonne...

J' apprécie particulièrement la forme que tu as su donné a ton éloge de l' absynte ^^

" Je me doute bien ^^ on a tous nos passages de mal être et ils sont nombreux "
" Lol oué cette petite éloge m'a bien fait tripper et écrit en cinq minutes "

Coursier Messages : 139 Date d'inscription : 05/11/2007

http://amneroth.lldc.fr/viewtopic.php?t=2814
Eternaral, tu y serais le bienvenu... Sobek aussi d'ailleurs

En parlant de pèmes... Votez :
https://lameute.forumdediscussions.com/vox-populi-f14/nouvelle-version-de-l-histoire-de-la-guilde-t85.htm#2571

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Les temps de guerres sont difficiles, le corps est fatigué et l'esprit tourmenté. Mais de ce malstrome hideux émerge parfois, en de rare occasion; une lueur de création autre que macabres...
Je vous transmais alors un poème tracé d'une plume hésitente lors de rude campagne.

~Hurlement d'une fin~
Je l’ai entendu, hier, crier de douleur,
Il était chassé par vos viles craches morts.
Il espérait tant revoir une belle aurore.
À l’agonie, bercé par les cris des chasseurs.

Je les ai aperçues, sinistres traqueurs...
Me retournant alors sans aucune larme,
Espérant ne plus croiser vos froides armes,
Et vous laissant une partie de mon cœur.

Comme des sournois vautours, vous les rabatteurs
Vous vous amusez à nous offrir la terreur,
Dans tes airs jovials, vous hurlez : Abattez les !

Alors nous repartons dans la stérile plaine.
Reprenez vos usés et insolents leurres,
Car plus jamais, non…, vous ne gagnerez ma peine...

Une étable ce n'est pas pour les porcs

Voilà une chose bien improbable,
La métamorphose d'une étable,
Qui au lieu d'acceuillir les bestiaux,
Sans y revenir il n'y avait pas de veaux,

Pas même une ombre, pas même une queue,
Et pourtant elle en était pas moins propre,
Que des porcs ne seraient être plus mal proprent,
Par une phange imonde d'un monde béliqueux,

L'ensemble clapotait dans la vase fuligineuse,
Comme une forge d'ou émane une chaleur sulfureuse,
Pourtant il n'y a pas lieu de s'inquiter,
Je vous jure, aucun veau n'y abiter,

L'étable n'était donc, loin même, d'être présentable,
Même pour des cochons et de la pire espèce,
Là dans ce poison, cette boue aipesse,
Gisant mishérablement... une famille lamentable.

La Naigresse

Qu'elle est belle la naigresse, portant son belle enfant,
Qu'elle est douce la naigresse, portant sa douce robe,
Elle se fait belle, elle se fait douce, pour plaire à son amant.

Elle est africaine, bien au Sud de ce grand continant,
Elle est femme, et s'en va trouver de quoi vivre, elle est son enfant,
Elle est africaine, elle est une femme, et elle couvre tous les besoins.

Son marie était un brave homme, mais il est partis à present,
Seul, mère, elle survie, à vivre aux crochés de Boys Friends,
Maintenant, toujours aussi belle, le virus lui souris et elle meurt, lentement.

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

J'apprécie la résonnance de vos poêmes cher élues des Muses. Leurs images sont belle.
Que pensez de mon essaie ?

" Un peu sombre un peu mélancolique vors vers laissent à réfléchir pour en comprendre la porté j'aime "

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Mercie de votre réponse mon seigneur, les vers me sont peut familier. Mais parfois t'elle un trai, ils fends les rideaux brumeux de l'esprit.

" Moi j'aime profondément la poèsie pour la liberté qu'elle donne et son essence propre de la beauté "
" Le plus dure je trouve est de donner à son poème une musicalité "
" Pour ma part je n'y pense guère mes poèsies sont le résulta de mes pensée "
" J'y mais mes songes mes douleurs mes peines mes révoltes mes chagrins mes amours mes haines... "
" La poèsie est mon moyen de me déchargé de mes ' stress ' "

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Il est vrai qu'il est difficile de faire vivre un texte et par sa musicalité la poésie arrive à ce résultat...
Tout le monde n'a pas ce talent malheureusement pour ceux qui le recherche ardiment, j'ose espérer que par le travail et l'encre versé...

J'aime bien vos vers Fenris
Ceux de Sobek aussi mais l'orthographe euh ...
ceux D'Eternaral sont bien aussi

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Je n'en ai composé qu'un seul...

Le Damné

Sur ma tombe
Depuis longtemps délaissée
Des fleurs fanées
Depuis longtemps déposées
Une croix ferrée
Surement rouillée
Mon cercueil à pourri
Par l'eau de pluie
La pierre tombale cassée
Par le temps qui à passé
Je m'ennuie à mort
Façon de parler car j'ai tord
Le vent inlassablement
Balai ce sombre monument
De temps en temps dans cette toile
Des gens passent avec leurs voiles
La pourriture ne m'a pas épargné
Et le temps n'a de cesse de coulé
Le jour de ma mort à depuis longtemps passé
Mon âme c'est estompée, mon esprit prisonnier
Dans ma tombe
Depuis longtemps délaissé
Je compte les années
Sans espoir d'un jour d'arrêté
Que le temps est long
Quand on est un damné...

Rompre...

Qu'elle est là bas cette forme si éclatante de beauté.
Ombre lumineuse attirant mon intention, l'emprisonnent.
Douce tortionnaire, écorchant mon cœur prisonnier.
Torture moi de tes mains, l'amour me sombre lentement.

Encore, inflige moi car mon cœur mélancolise en déraison.
Aveuglé par ton essence, j'admirai à m'en corrompre.
Débordé, submergé mon souffle coule sous ton nom.
Soupir... Je me relâche désabusé près à tout rompre.

La vie, la mienne, s'enfuit dans le sens de ta sortie.
Et moi Icar... Quand même le soleil je suivis.
De là tout est fade, rien n'a de gout, je suis comme mort...

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Si vos thèmes et codes esthétiques sont aprècié chez nos amis poètes vous avez toutes vos chences pour remporter ce concours...
J'ai particulièrement aprècié "Le Damnée" en souvenir de notre ami Hopewings...

Je ferais de mon mieux pour gagner ce concours mais il y a de la
pointure. Et j'ai dans l'espoir que si je doit me faire battre que ce
sois par vous ou par mon amis Colombe.

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Je ne suis pas un grand poète. Ma seule trace est "Hurlement d'une fin".
Je tacherai de changer cela au courant de la semaine.

Un voilé Messages : 79 Date d'inscription : 23/03/2008

Mais que vois-je???? des amis de la poésie? Je ne suis certes pas un grand poète, néanmoins je m'adonne de temps en temps à l'écriture de poème, mes vers ne sont pas d'une beauté inouïe, mais si vous y regardez de plus pret, c'est la formation du vers qui est sympa ^^

Un amour de saison

Un jour me promenant, je me dis qu'il était temps
De comprendre l'amour, le veritable amour.
Tout est dans la durée, me démontra l'Eté
Tandis que pour l'Automne, c'est contraire de monotone.
Mais à peine exprimé, que d'autre vinre se rajouter;
C'est encore un mystère, pour notre bel Hiver
Alors que le Printemps, pense tout autrement
Lui répète sans cesse, vivez dans l'allégresse.
Moi c'est auprès de toi, que je trouve ma voie.
De ces quatres idée, je tisse ma propre pensée:
"Le véritable amour est ce Mystère qui Dure et sait, sans se Renouveler, être une source de Bonheur"

(Alexandrin, sans rhyme définit entre les vers mais à l'intérieur de ceux ci à chaque moitié de vers....^^)

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Oui, la beauté des vers est très particulières mais elle me fait pensée à l'écriture d'un poète se donnant à un spectacle. Composé un poème en un minimum de temps, par exemple. Peut etre le ton employé, le vocabulaire...
J'en ai apprécier la lecture.

J'aimerais vous soumettre un de mes essaies. Je ne sais pas si cela est un poème et si il en est un... Nous dirons qu'il est en vers libre. Soyez sans pitier dans votre jugement.

~Le Pendu~

Sa a frétillé encore quelques instants. Des vagues de spasmes marquaient des nouveaux plis sur les vêtements et en d’incroyables contorsions le corps animaient les lieux. Ces traits de visage étaient figés en des positions peux communes. La peau non plus, n’était pas d’une teinte commune. Et…pour cela, il m’était drôle. Mon clown attaché.

Les agitations et convulsions passées. Seuls les balancements réguliers animaient la choses inanimée. Grincements et craquements accompagnaient cette douce danse. Tic, crac. Tac, cric. Mais peux à peux, ce balancier de fortune cessa son bal. Stupide funambule noué.

Ah quand un nouveau ? Je voulais un nouveaux. Et j’en aurais un ! Un nouveaux sur cette grande et belle dame de bois. Aux milles bras, robustes et soignés. Accompagnés du doux vent de Septembre. Elle chahutera encore, un nouveaux baluchon usés.

Sa frétillera encore quelques instants. Et encore, cela me fera rire.
Pendant quelques instants...

l'Hôte d'Utopia Messages : 734 Date d'inscription : 15/09/2007

Je continue donc avec un autre "poème à vers libres".
Jugez le moi s'il vous plait.

~Quand elle fut consumée...~

La chair se fit brûlante puis se consuma. Léchée par de longues et belles langues enflammées. Et un malstrom de sensation y découle et se répand dans tout cette être... Imbibant chaque recoin de cette excitation irréel.
Des râles en proviennent et se font connaître parmis des cris et des soupirs au souffle court. Magnifiques spasmes qui agite ce corps d'ébène changeant, où plus aucune pudeur en censure les gestes et contorsions.
Animal féroce se livrant à une danses transcendantale.
Et, quand cette vision trouble vos sens, l'air ne fait qu'en multiplier les effets. Odeur épicée et musquée vous enferme en cette folie excitante ; c'elle ou le Fantasme en est le monarque.

Et pourtant, l'étrange vérité pourtant altérée n'y voit qu'une martyre immolée.

" Cynisme, humour noir, deux jolies images de poèsie noire, un arbre à pendu fruit d'un esprit dérangé et le spectacle improbable d'une brulée vive sur le buché "
" Les métaphores sont bien fisselaient, le vocabulaire, les mots, le sens s'harmonisent pour former une orgie symbolique où l'horreur de la torture et de la voilence fièvreuse font de vos textes de belles décortication lyrique de geste insoutenable "